A Tzu-hu-chia, contrarié par le vent
le mât et ses cordages se dressent en sifflant dans le ciel
le batelier dort profondément au milieu des vagues
qui moutonnent
les filins des amarres doivent deviner ma pensée profonde
fragiles cordes elles résistent à un vent de dix mille li
Su Tung-po (1037-1101)
1 commentaire:
Beau poème.
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