Pour un manche d'un mètre cinquante-trois de long, sa tige doit être grosse et solide, la fibre serrée et noueuse. Il faut venir trois nuits le visiter et tourner trois fois autour en récitant son Abraxas. On le coupera alors au douzième tintement de minuit, en lune Asraï, d'un seul coup de courbet bien tranchant, dont la lame vierge ne servira qu'une fois.
On le montera dès lors à cru en se oignant comme il se doit le corps selon le corps selon le rituel que l'on sait.
Pierre DUBOIS - Elficologue
1 commentaire:
Tu parles que c'est pratique ! tous ces salamalecs....je préfère atteler mon âne ! :)
Enregistrer un commentaire